Photo : IG @annielsen
Cette image découverte sur Instagram m’a marquée. Je l’aime beaucoup parce qu’elle en dit long sur les messages qui nous sont diffusés quotidiennement. On ne s’en rend peut-être pas compte d’emblée, mais ces messages finissent par façonner notre humeur, notre état d’esprit, notre vision des choses.
Notre environnement est saturé de messages catastrophiques, rien ne va, ni le monde, ni les individus, rien n’est plus comme avant, c’est terrible, irrémédiable, on blâme les uns puis les autres. Le problème est roi. On en a tous au moins un, même si on ne le sait pas encore. En réponse, une surabondance de messages plus ou moins lénifiants, messages standardisés pour définir la bonne manière d’être bien.
Retour au point de départ.
Pourquoi ne reconnaitre que la part sombre du monde? Le fatalisme est facile. La nuance l’est moins. Peut-être que finalement c’est un acte de rébellion que d’observer sa vie et d’y voir des accomplissements positifs au quotidien, de reconnaitre l’accomplissement d’autrui et de l’encourager. Peut-être que c’est un acte de rébellion que de faire de son mieux pour donner au monde ce qu’on a de meilleur. Peut-être que cette fille sur la photo doit crier avec force qu’on peut choisir de manifester de l’amour, qu’on peut choisir de vivre la générosité et la gentillesse sans être une personne faible ou niaise. Elle est sans doute obligée de crier parce que dans la cacophonie ambiante on ne l’entend pas assez.
Joignons nos cris au sien ! Bonne journée à toi Laurence.
Bonne journée à toi!
Je valide! Que c’est bon de crier l’amour! Je le dis, je le fais et je le vis, et c’est vrai que parfois je me suis sentie un peu en décalage par rapport. De plus en plus, grâce au yoga, j’assume ce que je suis et ma façon d’épandre mon amour! 🙂